L’insuffisance en vitamine D touche 2 français sur 3 et son déficit est associé à de très nombreuses pathologies.
Elle était initialement identifiée pour son action antirachitique et pendant longtemps, a été cantonnée au seul métabolisme phosphocalcique (rachitisme des enfants, ostéoporose des sujets âgés) : pourtant de nombreux effets apparentent la vitamine D davantage à une hormone qu’à une vitamine.
Depuis l’épidémie de Covid 19, il y a un net regain d’intérêt pour cette vitamine à activité antiviral démontrée.
Cout social très élevé en France du stress en France : 2 milliards d’euros. Le stress est très largement répandu (jusqu’à 4 salariés sur 10, avant épidémie du Covid car il faut y ajouter maintenant les effets du confinement) et est à l’origine de nombreuses pathologies chroniques. Nous sommes le pays d’Europe qui consommons le plus d’anxiolytiques : quelle alternative avant nous pour limiter cette consommation excessive ?
La mycose digestive - ou candidose intestinale - est un trouble causé par la présence excessive de champignons pathogènes dans le tube digestif. Ces champignons sont appelés “candida albicans”. Ils peuvent coloniser tout le tube digestif, de la bouche à l'anus.
La glande thyroïde est localisée dans la partie antérieure du cou en avant de la trachée, sous le cartilage thyroïde qu’on appelle également « pomme d’Adam). Elle pèse environ 25g mais cela peut varier en fonction des situations pathologiques comme les goitres.
Ce syndrome reconnu par l’OMS depuis 1998, regroupe plusieurs anomalies souvent mineures lorsqu’elles sont considérées séparément mais dont l’association expose à un risque cardio-métabolique élevé.
Le syndrome métabolique est souvent lié à l’obésité viscérale.
Il est fréquent lors de mes consultations, qu’un patient se présente pour une difficulté de perte de poids (perte lente, voir stagnation) malgré certaines choses mises en place, sur le plan nutritionnel et activité physique.
Durant la consultation avec le médecin nutritionniste ou diététicienne, il faudra rechercher différents éléments qui peuvent impacter sur cette stagnation pondérale, à l’aide de bilan biologique, examen clinique et surtout interrogatoire/questionnaires nutritionnels.
Le lactose est un glucide présent dans le lait (40 à 50g dans chaque litre de lait de vache) et certains produits laitiers.
Pour que l’on puisse l’absorber, il doit être digérer par une enzyme « la lactase » sécrété dans l’intestin grêle et dont la performance diminuer souvent à l’âge adulte (déclin physiologique de l’activité lactasique jusqu’à 90% !).
L’intolérance au lactose touche 20% des adultes en France (dans le Nord) et jusqu’à 50% dans le Sud.
C’est une malade chronique qui touche presque 1 femme sur 10 en âge de procréer.
Il s’agit d’une prolifération ectopique de la muqueuse utérine, qui se développera dans d’autres tissus ou aux abords d’autres tissus (ovaires, trompes ou tissus péri-utérins comme les ligaments, le péritoine).
Des liens probables entre nutrition et endométrioses sont suspectées mais non encore bien élucidées. Il est évident cependant qu’une alimentation saine et équilibrée est importante pour maintenir notre corps en bonne santé.
La chirurgie de l’obésité « Chirurgie Bariatrique » est une alternative thérapeutique qui a fait ses preuves dans le traitement de l’obésité morbide en termes de résultat pondéral et de moindre morbi-mortalité. Elle améliore la qualité de vie dans l’obésité massive, prévient ou corrige souvent le diabète, la dyslipidémie, le syndrome d’apnée du sommeil ainsi que bons nombres d’autres complications de l’obésité.
L’une des difficultés hélas majeures persistantes est le suivi diététique post-opératoire, qui est fondamental pour trouver des solutions pertinentes aux perturbations digestives consécutives à l’intervention et pour faire durer le plus longtemps possible le bénéfice métabolique et pondéral.