L’insuffisance en vitamine D touche 2 français sur 3 et son déficit est associé à de très nombreuses pathologies.
Elle était initialement identifiée pour son action antirachitique et pendant longtemps, a été cantonnée au seul métabolisme phosphocalcique (rachitisme des enfants, ostéoporose des sujets âgés) : pourtant de nombreux effets apparentent la vitamine D davantage à une hormone qu’à une vitamine.
Depuis l’épidémie de Covid 19, il y a un net regain d’intérêt pour cette vitamine à activité antiviral démontrée.
Ce syndrome reconnu par l’OMS depuis 1998, regroupe plusieurs anomalies souvent mineures lorsqu’elles sont considérées séparément mais dont l’association expose à un risque cardio-métabolique élevé.
Le syndrome métabolique est souvent lié à l’obésité viscérale.